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fondation jean jaures - Page 11

  • Fondation Jean Jaurès - L’épidémie dans l’épidémie : thèses complotistes et Covid-19, Rudy Reichstadt, Jérôme Fourquet

    Chaque crise ou événement majeur génère quasi instantanément ses propres interprétations ou grilles de lecture de nature conspirationniste. La crise que nous vivons actuellement n’échappe pas à cette règle. Afin de mesurer pour la première fois l’adhésion de la population française aux thèses complotistes autour du coronavirus, la Fondation Jean-Jaurès et Conspiracy Watch ont réalisé avec l’Ifop une grande enquête, pilotée par Rudy Reichstadt et Jérôme Fourquet.

    Le 17 mars 2020, la France entrait officiellement en confinement. Le même jour, une enquête d’opinion du Pew Research Center[1] révélait que 29 % des adultes américains pensaient que le virus avait été fabriqué en laboratoire, soit intentionnellement (23 %), soit accidentellement (6 %).

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  • Fondation Jean Jaurès - Pologne : les atteintes à l’État de droit du parti conservateur au pouvoir, Droit et justice

    Depuis le retour au pouvoir du parti conservateur, Droit et justice (PiS), en Pologne en 2015, de nombreuses atteintes à l’État de droit ont été commises, notamment dans le domaine judiciaire. Joanna Lasserre, présidente de l’Association Défense de la démocratie en Pologne, décrypte la situation politique actuelle dans le pays et le mouvement engagé par le PiS qui s’attaque aux droits et santé sexuels et reproductifs des femmes et aux personnes LGBT+.

  • Fondation Jean Jaurès - Des démocrates en Amérique : l’heure des choix face à Trump. Débat avec Célia Belin

    En 2016, l’élection de Trump a provoqué un séisme politique aux États-Unis et fait une principale victime : le parti démocrate. Mais, sous l’effet de l’électrochoc, celui-ci s’est vu revivifié par d’intenses débats en son sein. Célia Belin, politologue spécialiste des États-Unis et visiting fellow à la Brookings Institution, a suivi candidats, militants et sympathisants démocrates durant plusieurs mois et décrit ce foisonnement d’idées pour le renouvellement de la gauche américaine dans son nouveau livre, Des démocrates en Amérique : l’heure des choix face à Trump (Fayard, Fondation Jean-Jaurès, février 2020)

  • Fondation Jean Jaurès - Les Verts, la gauche et le Parti socialiste : entre convergences et malentendus

    Alors qu’ils siégeaient jusqu’à présent dans la majorité municipale, les Verts parisiens nourrissent l’ambition pour les municipales de 2020 de ne plus être de simples supplétifs des socialistes, jusqu’à une prise de distance à l’égard d’Anne Hidalgo, décidée au niveau local mais encouragée au niveau national par Yannick Jadot, qui a surpris bien des observateurs. Pourtant, elle renvoie à des hésitations et à des questionnements solidement ancrés dans le mouvement écologiste depuis ses origines quant à son rapport à la gauche et au socialisme, décryptés ici par l’historien Sébastien Repaire.

    Les écologistes se proclament originellement « ni de droite, ni de gauche ». Ce refus de prendre position sur l’axe gauche-droite naît dans la mouvance écologiste des années 1970 et se transmet ensuite en héritage aux Verts, fondés en janvier 1984. Cette double révocation, de la gauche et de la droite, n’est d’ailleurs pas spécifique aux écologistes français, et se retrouve par exemple chez les Grünen ouest-allemands, dont le principal slogan dans les années 1980 est « nicht rechts, nicht links, sondern vorn » – « ni à droite, ni à gauche, mais devant »[1]. La même attitude se manifeste, à des degrés divers, dans toutes les tendances de l’écologie politique, en dépit d’exceptions notables comme René Dumont, notoirement « socialiste » selon sa propre terminologie. Elle s’exprime avec force au moins jusqu’aux années 1990 : encore en 1995, Dominique Voynet explique qu’elle n’est « ni catho ni de gauche », alors qu’elle est la candidate des Verts à la présidentielle.

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  • Fondation Jean Jaurès - Comment répondre à la crise du commun ? Débat avec Salomé Berlioux, David Djaïz et Richard Ferrand en direct le 4 mars à 18h30

    La France souffre-t-elle d’une forme de mélancolie collective, version nationale d’une crise du commun et d’une démocratie fragilisée ? Mobilisation des citoyens, rôle des services publics, initiatives des territoires… État, collectivités locales et société civile doivent retrouver des moyens d’action – la liberté pour innover, la responsabilité pour assumer, la puissance pour transformer.

    Pour en débattre, la Fondation réunit : - Salomé Berlioux, présidente de l’association Chemins d’avenirs, co-auteure de "Les Invisibles de la République. Comment on sacrifie la jeunesse de la France périphérique" (Robert Laffont, 2019), - David Djaïz, enseignant à Sciences Po, auteur de "Slow démocratie. Comment maîtriser la mondialisation et reprendre notre destin en main" (Allary, octobre 2019), - Richard Ferrand, président de l’Assemblée nationale, auteur de "Nos lieux communs. Petit traité républicain à l’usage des démocrates" (Fondation Jean-Jaurès/L’Aube, février 2020), lors d'une rencontre animée par Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès.

  • Fondation Jean Jaurès - Forum Génération Égalité : les 25 ans de la Déclaration de Pékin

    La Déclaration et la Plateforme d’actions de Pékin, qui fixent des objectifs pour atteindre l’égalité entre les femmes et les hommes, ont été adoptées il y a vingt-cinq ans par 189 pays. Le Forum Génération Égalité, qui se tiendra du 7 au 10 juillet 2020 à Paris, fera le bilan de cette Déclaration. Delphine O, ambassadrice et secrétaire générale du Forum Génération Égalité, a échangé avec Amandine Clavaud, responsable Europe, Égalité femmes-hommes à la Fondation Jean-Jaurès, pour présenter les enjeux du Forum, ses objectifs, et le rôle de la France, comme celui de la société civile, dans ce processus. 

  • Fondation Jean Jaurès - Le monde arabe entre tensions sociales et géopolitiques : débat avec Charles Thépaut

    Les pays arabes sont parcourus par des crises difficiles à démêler. Si les « printemps » de 2011 ont remis en cause des systèmes qui n’étaient plus viables, ils n’ont pu en traiter les causes économiques et sociales et leur répression a généré de nouveaux conflits, les populations continuant de réclamer un traitement plus digne, comme en Algérie, au Liban et en Irak en 2019.

    Mêlées à la géopolitique, ces crises alimentent différents degrés de violence : brutalité extrême de Daech, guerres au Yémen et en Syrie, escalades ponctuelles à Gaza et conflits à répétition en Libye. Dans les zones plus stables, les inégalités s’aggravent entre une élite intégrée dans la mondialisation et le reste de la population.our en débattre, la Fondation organise une rencontre publique avec Charles Thépaut, diplomate français, actuellement chercheur invité au Washington Institute for Near East Policy et spécialiste du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord. Il a notamment travaillé en Syrie, en Algérie, en Irak et dans le cadre de la Coalition internationale contre Daech et il est l'auteur de Le monde arabe en morceaux. Des printemps arabes au recul américain (Éditions Armand Colin, février 2020).

    Dans cet essai, il propose une analyse précise de chaque pays de cette région fragmentée. Il en explique également la nouvelle géopolitique, au moment où la Russie, l’Iran ou la Turquie profitent du "retrait" américain du Moyen-Orient. Si le tableau est sombre, ce livre rappelle aussi l’énergie des sociétés qui continuent à vivre, à bouillonner d’initiatives locales, pour dessiner leur avenir malgré les obstacles.

  • Fondation Jean Jaurès - L’UE contre le moratoire sur la vente des terres

    Suite à la note d’Olena Makarenko publiée le 7 février dernier, la Fondation et L’Ukraine est notre voisin proposent une analyse d’Halya Coynash sur la position de l’Union européenne, via la Cour européenne des droits de l’homme, concernant la réforme foncière en Ukraine. Membre du Groupe de Kharkiv pour la protection des droits de l’homme (KHPG), Halya Conyash publie régulièrement en anglais sur le site du KHPG et s’est imposée comme une des meilleures sources sur la situation des droits de l’homme en Ukraine.

    En décembre 2018, les législateurs ukrainiens avaient prolongé jusqu’au 1er janvier 2020[1] l’interdiction, très controversée, de vendre des terres agricoles. Et ce malgré la décision de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), qui a jugé que ce moratoire violait les droits de propriété des Ukrainiens, et bien que la Cour de Strasbourg ait clairement annoncé que de lourdes indemnités seraient à payer quand sa patience serait à bout.

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  • Fondation Jean Jaurès - Quelle est la visibilité de l'Europe dans les médias français ?

    La télévision et la radio françaises ne consacrent que 3 % de leur temps d’antenne à l’actualité européenne. Comment expliquer cette faible visibilité dans les médias français ? Théo Verdier, responsable de la communication externe pour le Mouvement européen-France, co-auteur du rapport "Renforcer l’information des Français sur l’Union européenne" avec Rémy Broc et Rémi Lauwerier et de l’étude "Plus d’Europe dans les médias français" avec Jean-Michel Baer, en décrypte les raisons et propose des pistes d’amélioration, notamment dans la perspective du projet de loi sur la réforme de l’audiovisuel qui sera débattu au printemps 2020 au Parlement et qui pourrait être un levier pour y remédier. Retrouvez le rapport "Renforcer l’information des Français sur l’Union européenne" (Fondation Jean-Jaurès) : www.jean-jaures.org/nos-productions/renforcer-l-information-des-francais-sur-l-union-europeenne-le-defi-du-cycle Retrouvez l’étude "Plus d’Europe dans les médias français" (Institut Jacques Delors) : www.institutdelors.eu/publications/plus-deurope-dans-les-medias-francais/

  • Fondation Jean Jaurès - Qu'est-ce qu'un fait ? La vérité au défi des croyances et des rumeurs

    Qu’est-ce qu’un fait ? Qu’est-ce qui distingue un fait scientifique d’une opinion, d’une croyance, d’une rumeur ? Dans une époque marquée par l’émergence des théories du complot et la place prise par les « fake news », la Fondation a publié un livre collectif dont l’ambition est de défendre les Lumières et la science afin de combattre l’ère de la « post-vérité ». On en débat avec les directeurs de l’ouvrage et certains de ses auteurs. Le fait en question, sous la direction de Guillaume Lecointre et Sarah Proust, éditions de L’Aube/Fondation Jean-Jaurès/Muséum national d’histoire naturelle (novembre 2019) La rencontre réunira : * Florence Bellivier, juriste, * Faouzia Charfi, physicienne, * Éric Guilyardi, océanographe et climatologue, * Clément Lacaton, journaliste, * Gérard Lambert, médecin, * Guillaume Lecointre, zoologiste, * Sarah Proust, élue à Paris.

  • Fondation Jean Jaurès - Répondre à la crise démocratique

    Le constitutionnaliste Jean-Philippe Derosier, professeur de droit public à l’université de Lille, auteur du blog La Constitution décodée, analyse, dans sa sixième contribution d’une série réalisée en partenariat avec L’Hétairie, les propositions institutionnelles de François Hollande.

    C’est ce que François Hollande, président de la République de 2012 à 2017, propose d’aborder dans un ouvrage paru le 23 octobre, chez Fayard. Il a accepté de venir en débattre avec les étudiants, à la faculté de droit de l’université de Lille, ce mardi 12 novembre 2019.

    Dans le cadre d’entretiens, l’ancien président de la République répond aux questions posées par Marc-Olivier Padis, directeur des études de Terra Nova, à partir de son expérience : « J’ai pu moi-même faire le constat des ambiguïtés et des contradictions de notre Constitution. Elle tente de plus en plus mal de conjuguer le régime parlementaire avec une dérive présidentialiste qu’amplifie le quinquennat. Loin d’ajouter les avantages de l’autorité et de la responsabilité, ce mélange des genres aboutit à une confusion au sein de l’exécutif, avec la dyarchie président-Premier ministre, et à une concentration excessive des pouvoirs au détriment du Parlement. Elle conduit la majorité à l’Assemblée nationale à un dilemme impossible : la loyauté jusqu’au bout ou la fronde jusqu’à sa perte » (page 14).

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